Dans le principe, l’accès aux transports en commun pourrait être pris en charge par la SSEU. L’éducation gagnerait à être aussi gérée par et pour la population, sur la base de droits garantis par la SSEU.
Pour autant, la cotisation ne peut pas se substituer à l’ensemble des prélèvements fiscaux. Une véritable reprise en main démocratique des services publics, impliquant les bénéficiaires et les salarié.es dans la gestion semble donc constituer un objectif majeur à associer à l’élargissement de la Sécu.
Pour la culture, sans nouveau droit, la SSEU pourrait garantir des conditions de vie, de revenu et de travail favorisant la création artistique et son accès à toutes et tous.
